Isobel Quentin

Faites avec amour (et un crochet, de la laine et de la lavande -de mon jardin-), les "Boules de consolation" sont venues peupler mes soirées d'hiver pour me consoler moi-même de la noirceur du temps et des humeurs grises qui rôdaient au pas de ma porte.

Et de fils en fils, de couleurs en couleurs, j'en suis arrivée à rêver de nouveaux mondes, de tendres univers chatoyants et duveteux qui pourraient -au moins un temps- alléger la peine et les tourments.

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Et Hop ! ça marche !

Si, si, vraiment. Ça fonctionne vraiment !

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Tout d'abord, choisir sa boule.

Là plusieurs stratégies allant du geste précis et direct ("c'est elle-là et pas une autre !") à l'atermoiement long et douloureux du choix qui n'en finit pas ("celle là est plus belle...  plus douce.... elle sent plus bon... enfin non... peut-être que ... celle-là plutôt....") pour en revenir, 9 fois sur 10, au premier choix fait spontanément.

Comme quoi, la première intention est bien la bonne !

 

Plus d'une cinquantaine de boules réalisées en 2 mois et que j'ai offertes avec joie à tous mes ami-e-s lorsque je les rencontrais.

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Quelle joie de voir leurs yeux s'allumer, leurs mains caresser, leur nez palpiter !

Ce fut pour moi mon plus beau cadeau que de donner ainsi un peu de... tout ça !

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L'année prochaine une nouvelle série... peut-être... ou pas !

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